Nom : Moal-Raynaud
Prénom : Mathieu Surnom : Matt Signe particulier : une certaine générosité capillaire, mais il paraît que j'ai l'oreille absolue, je peux reproduire une musique à l'oreille sur piano, stylophone, kalimba, nokia 3310, sucette-sifflet... Devise : "Wanting to be someone else is a waste of the person you are". Site web : marions nous dans les bois |
BIO
Même si c'est celui que l'on m'a donné à la naissance, je ne réponds guère au doux nom de Mathieu ; soit la personne en face ne me connait pas et me nomme ainsi par politesse, soit c'est ma femme (ou ma maman), et alors je vais sûrement me faire engueuler. Appelez-moi donc Matt, tout simplement. Originaire de Savoie, j'ai passé mon enfance au coeur des montagnes, avec comme passion principale le ski (original, n'est-ce pas), et l'envie de devenir (allez-savoir pourquoi, par ordre chronologique) : électricien, pianiste, ingénieur du son, champion de ski et même pourquoi pas informaticien. Titulaire d'une licence en communication obtenue en 2005, j'étais déjà accro à la réalisation vidéo au début du siècle (caméscope Hi8 puis mini DV / Sony Foundry Vegas 2.0, ça te parle ?), et créais de toutes pièces mes premières vidéos de ski avec THC73, mon crew de joyeux lurons (#YOLO)... Ce qui nous a même valu les honneurs de la presse nationale spécialisée et du matériel gratuit pendant pas mal d'années ! Aussi incroyable que cela puisse paraître, je ne pensais alors pas que cela me mènerait en 2007 à devenir journaliste dans ce milieu du freeski qui m'était si cher, en décrochant la place de rédac' chef adjoint du magazine dont j'étais fan depuis 1995. Formé sur le tas aux techniques de journaliste-reporter, tout en continuant de développer ma passion pour la vidéo, j'ai acquis beaucoup d'expérience sur le terrain, mais aussi dans d'autres domaines comme le clip musical, la vidéo institutionnelle et même culinaire... Avant de faire le grand pas en 2017 : quitter le confort d'un CDI dans un job de rêve pour me lancer à mon compte, et tant qu'à faire, quitter les montagnes et aller vivre à l'océan avec Madame et chien-loup.
Même si c'est celui que l'on m'a donné à la naissance, je ne réponds guère au doux nom de Mathieu ; soit la personne en face ne me connait pas et me nomme ainsi par politesse, soit c'est ma femme (ou ma maman), et alors je vais sûrement me faire engueuler. Appelez-moi donc Matt, tout simplement. Originaire de Savoie, j'ai passé mon enfance au coeur des montagnes, avec comme passion principale le ski (original, n'est-ce pas), et l'envie de devenir (allez-savoir pourquoi, par ordre chronologique) : électricien, pianiste, ingénieur du son, champion de ski et même pourquoi pas informaticien. Titulaire d'une licence en communication obtenue en 2005, j'étais déjà accro à la réalisation vidéo au début du siècle (caméscope Hi8 puis mini DV / Sony Foundry Vegas 2.0, ça te parle ?), et créais de toutes pièces mes premières vidéos de ski avec THC73, mon crew de joyeux lurons (#YOLO)... Ce qui nous a même valu les honneurs de la presse nationale spécialisée et du matériel gratuit pendant pas mal d'années ! Aussi incroyable que cela puisse paraître, je ne pensais alors pas que cela me mènerait en 2007 à devenir journaliste dans ce milieu du freeski qui m'était si cher, en décrochant la place de rédac' chef adjoint du magazine dont j'étais fan depuis 1995. Formé sur le tas aux techniques de journaliste-reporter, tout en continuant de développer ma passion pour la vidéo, j'ai acquis beaucoup d'expérience sur le terrain, mais aussi dans d'autres domaines comme le clip musical, la vidéo institutionnelle et même culinaire... Avant de faire le grand pas en 2017 : quitter le confort d'un CDI dans un job de rêve pour me lancer à mon compte, et tant qu'à faire, quitter les montagnes et aller vivre à l'océan avec Madame et chien-loup.
En quelques lignes, dis-nous qui es-tu ?
Matt Moal-Raynaud, 39 ans, réalisateur freelance dans l'univers du mariage (et un peu ailleurs quand j'ai le temps), touche-à-tout et polyvalent. J'ai toujours fait de la vidéo depuis les années 2000 : dans mon ancien job chez Skieur Magazine, mais aussi en parallèle avec des clients plutôt cools comme Nixon, Dakine, Billabong, Rossignol, Oakley, Lafuma, Office du Tourisme de Lyon, Botanic... Après un stop de 4 ans en région Nantaise, je vis désormais en bord de mer au bout du monde (dans le Finistère, au nord de Brest quoi…), marié depuis 2015 à Élodie (ex-graphiste désormais collectionneuse de sourires chez Nicéphore & Co) et papa dompteur d'un border-collie un peu trop intelligent. J'aime les voyages, la cuisine, le gros son qui tâche, je suis méga fan de la trilogie "Back to the future" mais aussi des films de zombies. Truc à la mode mais il paraît que j'ai une forte tendance à l'hypersensibilité (oui, j’ai souvent des poussières dans les yeux sur mes mariages ou mes poils qui s’hérissent en entendant certaines musiques).
Comment es-tu devenu vidéaste de mariage ?
J'ai débuté officieusement dans le mariage en 2010 pour dépanner deux ou trois couples d'amis qui savaient que je me débrouillais avec une caméra et un ordinateur, et clairement, je n’avais pas envie d’en faire un job à plein temps (un peu trop kitsch à mon goût). Puis j'ai eu la chance d'avoir des contacts dans le game qui m'ont placé sur quelques mariages cools et j’ai enfin décidé d’écouter ma femme (qui a très souvent raison…) après qu’elle m’ait dit à plusieurs reprises "Regarde les vidéastes qu'on a contactés pour notre mariage, t'as les capacités de faire largement mieux que la moitié".
Depuis quand ?
En 2014 sous l'identité Marions-Nous Dans Les Bois.
Combien de mariage as-tu effectué ?
100 à l’heure où j’écris ces lignes (mars 2022).
Décris-nous brièvement ton style ?
Pour faire court, on peut dire que j'ai une vision "rock'n'love" de la vidéo de mariage, sauce docu-ciné. Je ne suis pas dans un style "trop propre et supra-romantique", j'aime qu'il y ait du mouvement, des émotions, de l'intensité, voilà pourquoi j'ai choisi de travailler en mode reportage au coeur de l'action (surement des restes de mon passif de journaliste de terrain dans le milieu du freeski), en essayant de raconter des histoires sans truquer la réalité du moment.
Matt Moal-Raynaud, 39 ans, réalisateur freelance dans l'univers du mariage (et un peu ailleurs quand j'ai le temps), touche-à-tout et polyvalent. J'ai toujours fait de la vidéo depuis les années 2000 : dans mon ancien job chez Skieur Magazine, mais aussi en parallèle avec des clients plutôt cools comme Nixon, Dakine, Billabong, Rossignol, Oakley, Lafuma, Office du Tourisme de Lyon, Botanic... Après un stop de 4 ans en région Nantaise, je vis désormais en bord de mer au bout du monde (dans le Finistère, au nord de Brest quoi…), marié depuis 2015 à Élodie (ex-graphiste désormais collectionneuse de sourires chez Nicéphore & Co) et papa dompteur d'un border-collie un peu trop intelligent. J'aime les voyages, la cuisine, le gros son qui tâche, je suis méga fan de la trilogie "Back to the future" mais aussi des films de zombies. Truc à la mode mais il paraît que j'ai une forte tendance à l'hypersensibilité (oui, j’ai souvent des poussières dans les yeux sur mes mariages ou mes poils qui s’hérissent en entendant certaines musiques).
Comment es-tu devenu vidéaste de mariage ?
J'ai débuté officieusement dans le mariage en 2010 pour dépanner deux ou trois couples d'amis qui savaient que je me débrouillais avec une caméra et un ordinateur, et clairement, je n’avais pas envie d’en faire un job à plein temps (un peu trop kitsch à mon goût). Puis j'ai eu la chance d'avoir des contacts dans le game qui m'ont placé sur quelques mariages cools et j’ai enfin décidé d’écouter ma femme (qui a très souvent raison…) après qu’elle m’ait dit à plusieurs reprises "Regarde les vidéastes qu'on a contactés pour notre mariage, t'as les capacités de faire largement mieux que la moitié".
Depuis quand ?
En 2014 sous l'identité Marions-Nous Dans Les Bois.
Combien de mariage as-tu effectué ?
100 à l’heure où j’écris ces lignes (mars 2022).
Décris-nous brièvement ton style ?
Pour faire court, on peut dire que j'ai une vision "rock'n'love" de la vidéo de mariage, sauce docu-ciné. Je ne suis pas dans un style "trop propre et supra-romantique", j'aime qu'il y ait du mouvement, des émotions, de l'intensité, voilà pourquoi j'ai choisi de travailler en mode reportage au coeur de l'action (surement des restes de mon passif de journaliste de terrain dans le milieu du freeski), en essayant de raconter des histoires sans truquer la réalité du moment.
Qui sont les gens qui t’inspirent dans le milieu du mariage ?
Chez les étrangers, je dirais Bottle Brush, White in Revery, Super Weddings, Kreativ Pinewood. Côté français, "papa Pascal" pour avoir su dépoussiérer le style, Record You et Ping Pang pour leurs savoir-faire respectifs, la Kickass Family au sens large (Mathias, Stef, Meryll, la Zolle, Pierre & Julie…), sans oublier tous les autres qui participent activement à développer la French Touch.
Quelles sont tes inspirations en dehors du mariage ?
Je suis particulièrement fan de cinéma anglais : Edgar Wright, Danny Boyle, Guy Ritchie, Chris Cunningham, Justin Kerrigan, sans oublier le monstre Christopher Nolan. Côté français : Jean-Pierre Jeunet, Quentin Dupieux (aka Mr. Oizo), deux registres très différents mais inspirants. Et enfin, à l'international : The Daniels, Spike Jonze et Jonas Akerlund. J’aime les montages dynamiques, avec du rythme et des mouvements de caméras, que j'essaie d’adapter à la vidéo de mariage. Sinon, je consomme beaucoup (trop) de séries sur Netflix.
Pour toi quel est le plus important dans notre métier ?
Être à l'écoute des mariés, savoir les rassurer et les conseiller, avoir de l'empathie, et surtout, de la rigueur et une organisation à toute épreuve. Être capable de gérer dans le pire comme dans le meilleur, car ces souvenirs que nous capturons en images animées prendront énormément de valeur sentimentale au fil des années.
Que penses-tu apporter aux participants du workshop ?
Mon métier de journaliste de terrain en montagne m'a beaucoup apporté, notamment sur la couverture d'événements : être capable de ramener le meilleur en images - peu importe les conditions, être organisé le jour J grâce à une bonne préparation en amont, savoir gérer le stress et les changements de dernière minute, être capable de proposer une solution dans l'urgence tout en restant professionnel...
Quelles sont tes récompenses / publications ?
Ne courant pas après les récompenses, je participe rarement aux concours du milieu (sauf pour faire plaisir à Mathias). Du coup, j’ai un palmarès plutôt cool aux Kickass Awards grâce aux votes d’une belle communauté française que je remercie pour son soutien ! Sinon, j'ai eu la chance d'être publié pas mal de fois sur des blogs de référence : La Mariée Aux Pieds Nus, Queen For A Day, Le blog de Madame C, Un Beau Jour, Rock'n'Roll Bride, La Soeur de la Mariée...
Chez les étrangers, je dirais Bottle Brush, White in Revery, Super Weddings, Kreativ Pinewood. Côté français, "papa Pascal" pour avoir su dépoussiérer le style, Record You et Ping Pang pour leurs savoir-faire respectifs, la Kickass Family au sens large (Mathias, Stef, Meryll, la Zolle, Pierre & Julie…), sans oublier tous les autres qui participent activement à développer la French Touch.
Quelles sont tes inspirations en dehors du mariage ?
Je suis particulièrement fan de cinéma anglais : Edgar Wright, Danny Boyle, Guy Ritchie, Chris Cunningham, Justin Kerrigan, sans oublier le monstre Christopher Nolan. Côté français : Jean-Pierre Jeunet, Quentin Dupieux (aka Mr. Oizo), deux registres très différents mais inspirants. Et enfin, à l'international : The Daniels, Spike Jonze et Jonas Akerlund. J’aime les montages dynamiques, avec du rythme et des mouvements de caméras, que j'essaie d’adapter à la vidéo de mariage. Sinon, je consomme beaucoup (trop) de séries sur Netflix.
Pour toi quel est le plus important dans notre métier ?
Être à l'écoute des mariés, savoir les rassurer et les conseiller, avoir de l'empathie, et surtout, de la rigueur et une organisation à toute épreuve. Être capable de gérer dans le pire comme dans le meilleur, car ces souvenirs que nous capturons en images animées prendront énormément de valeur sentimentale au fil des années.
Que penses-tu apporter aux participants du workshop ?
Mon métier de journaliste de terrain en montagne m'a beaucoup apporté, notamment sur la couverture d'événements : être capable de ramener le meilleur en images - peu importe les conditions, être organisé le jour J grâce à une bonne préparation en amont, savoir gérer le stress et les changements de dernière minute, être capable de proposer une solution dans l'urgence tout en restant professionnel...
Quelles sont tes récompenses / publications ?
Ne courant pas après les récompenses, je participe rarement aux concours du milieu (sauf pour faire plaisir à Mathias). Du coup, j’ai un palmarès plutôt cool aux Kickass Awards grâce aux votes d’une belle communauté française que je remercie pour son soutien ! Sinon, j'ai eu la chance d'être publié pas mal de fois sur des blogs de référence : La Mariée Aux Pieds Nus, Queen For A Day, Le blog de Madame C, Un Beau Jour, Rock'n'Roll Bride, La Soeur de la Mariée...